
CHAPTER ONE
« Réserve le voyage », a-t-il dit. Alors je l’ai fait.
Les jours brûlants appellent les esprits ardents.
Épaules nues et crème solaire au monoï réveillent une partie de moi que peu de choses savent toucher.
C’est le moment des étés d’antan, des beach clubs de la Riviera tout droit sortis d’un vieux film que j’ai vu ado.
Ce sont des instants pour flâner en ville, portées par notre éclat doré, nos envolées vaporeuses — sans effort, sans excuse.
Et pourquoi pas ?
C’est ici que notre drame féminin déploie ses ailes.